Pop Corn

  • Autor: Vários
  • Narrador: Vários
  • Editora: Podcast
  • Duração: 27:55:25
  • Mais informações

Informações:

Sinopse

Chaque semaine, Nova fait le tri pour vous dans les sorties en salles.  Sil ny a quun seul film à voir, cest celui-là.

Episódios

  • Cannes 2022: Dos au mur

    23/05/2022 Duração: 02min

    À Cannes rien n'est vraiment anodin. Des journées et horaires où les films sont programmés, au protocole de la montée des marches, tout tient d'une stratégie jusque dans la symbolique. Cette année, la première qui aura sauté aux yeux est le fond commun aux affiches des principales sections. La concurrence, pur secret de polichinelle, entre la Sélection officielle, la Quinzaine des réalisateurs et la Semaine de la critique, les poussent à marquer leur territoire et leur identité. Pourtant, les trois affiches pour 2022 auront convergé autour d'un même motif. Pendant que celle de la Semaine projette des images sur un dos nu, celles de la Quinzaine des réalisateurs fond un homme dans un décor, façon caméléon, face contre un mur. L'affiche de la sélection officielle, montre un autre homme, Jim Carrey dans “The Truman show”, cette fois-ci de profil mais aussi incrusté façon trompe-l'oeil. C'est le hasard, puisqu'elles ont été conçues indépendamment les unes des autres, qui les a amenées à ne pas arborer de visage.

  • Cannes 2022 : le vent commence à souffler fort en coulisses économiques

    20/05/2022 Duração: 05min

    Alex Masson en direct de Cannes pour cette 75ᵉ édition du festival.

  • Cannes 2022, Jour 1 : on ouvre !

    19/05/2022 Duração: 03min

    Usuellement les zombies à Cannes font plutôt leur apparition en fin de parcours, au vu des têtes de décavés des accrédités ayant encaissé dix jours de projections non-stop et des nuits souvent raccourcies. Cette année, les cadavres ambulants ont ouvert le bal hier soir avec la projection en ouverture de “Coupez !”, le nouveau film de Michel Hazanavicius. Enfin pas si nouveau que ça. D'abord parce qu'il s'agit d'un remake d'un rigolo ovni japonais de Shinichiro Ueda : “One cut of the dead”. Ironiquement rebaptisée en français Ne coupez pas !. Cette revisite française en reprend le principe et la structure, soit les mésaventures d'une équipe de tournage réalisant une série Z d'horreur. Mais, “Coupez !” en chamboule la temporalité, en attaquant par le film en question avant de revenir en flashback sur ses coulisses. Le film de Shinichiro Ueda était un exercice de style bricolé avec les moyens du bord, l'énergie et les idées palliaient le manque de moyens. La version Hazanavicius a beau ne pas démériter sur ce po

  • “The Northman” : Le monde du cinéma de studio hollywoodien serait-il plus âpre que la mythologie viking ?

    12/05/2022 Duração: 04min

    Il sera intéressant un jour de se pencher sur la sorte de malédiction qui pèse sur les films de vikings faits par des réalisateurs américains. Régulièrement, on a vu des cas de projets super excitants autour d'épopées revenant sur ces guerriers nordiques. Donnant à l'arrivée non pas des films ratés, loin de là, mais claudicants, jamais vraiment à la hauteur de leurs auteurs. Ainsi, il faut se souvenir du 13e guerrier de John McTiernan, qui aurait pu être à ce registre ce que son Piège de cristal avait été au blockbuster d'action. Si le romancier Michael Crichton n'avait pas remonté le film dans le dos du cinéaste. Il y avait aussi le projet extravagant nourri par Mel Gibson, celui d'une saga nordique qui aurait été parlée en véritable langue viking. Avant de l'abandonner faute de financement, malgré la présence prévue de Leonardo DiCaprio au casting. Aujourd'hui, c'est au tour de Robert Eggers de s'attaquer à cette mythologie avec The Northman. Après deux premiers films décapants, The witch et The Lighthouse,

  • “Ego” d’Hannah Bergholm : petit à petit, le cinéma fantastique nordique s’affirme comme un drôle d'oiseau

    05/05/2022 Duração: 02min

    Il y a quelques mois, l'Islande envoyait une surprenante carte postale avec Lamb, et son enfant-agneau. Et voilà qu'un autre drôle d'animal débarque de Finlande dans Ego. Un oiseau gigantesque, qui prend peu à peu les traits de Tijna, une adolescente mal dans sa peau. Tout part de la découverte d'un curieux œuf, que cette gamine va couver. Mais Ego tient surtout d'un jeu tordu de poupées russes, puisque sous la coque de cette histoire de dopplegänger, ces doubles maléfiques, se dissimule surtout une cellule familiale qui se fissure progressivement. Notamment autour d'une mère qui veut modeler sa progéniture à son image, physique comme sociale.Mais visiblement, Ego ne veut ressembler à rien ni personne d'autre...Effectivement, en croisant le terrain d'un David Cronenberg et son obsession sur les mutations corporelles. Avec la possible obsolescence des sentiments qu'elles engendreraient, et un univers de teen movie rose bonbon peu à peu entaché par du rouge sang. La réalisatrice Hannah Bergholm fait sortir de c

  • "Ghost Song" de Nicolas Peduzzi : Houston, on a toujours un gros problème

    28/04/2022 Duração: 02min

    Évidemment celui de la présidence Trump depuis son élection en novembre de l'année précédente. Mais aussi, ceux plus naturels, qui traversèrent les États-Unis. Notamment Harvey, l'un des plus puissants depuis Katrina qui avait balayé la Nouvelle-Orléans. Nicolas Peduzzi a posé les caméras de Ghost Song à Houston, Texas, alors qu'Harvey se rapproche. Dans ce climat pré-apocalyptique, il filme d'autres tempêtes, plus intimes mais pas moins ravageuses. Celles qui touchent trois vies, ou plutôt trois survies. Will, Nate et Alexandra viennent de milieux sociaux différents, mais se retrouvent dans une même errance dans le quartier de Third Ward. Situé au centre de la ville, il devient un autre œil du cyclone dans Ghost Song. Peduzzi y suit ce panel pour raconter une génération de trentenaires déboussolés, mais pas apathiques. Le vent qui souffle dans ce documentaire est justement celui d'une rogne collective. À ce tempo, Peduzzi ajoute les sonorités électro et rap de l'époque, dans une bande son incarnant un person

  • “Et j'aime à la fureur” d’André Bonzel : Le cinéma c’est aussi une manière de transformer des prises de vues en prises de vie

    20/04/2022 Duração: 03min

    Le cinéma c'est forcément une histoire de projection. De manière naturelle, organique et ontologique évidemment, puisque c'est un art qui est né de ça. Sans projecteur, pas de cinéma. Mais pas seulement.Pour la plupart des cinéphiles purs et durs, cela tient de la projection de soi, voire d'une vie par procuration. André Bonzel est sans doute de ceux-là. Pour preuve, sa collection quasi-fétichiste de films amateurs qu'il engrange depuis des décennies. À travers eux, c'est d'innombrables heures de fragments du quotidien et de moments de vie qui se sont égrenés. Celles d'anonymes, dont Bonzel ne sait sans doute rien d'autre que ces images récupérées ici et là. Mais elles ont en commun d'inscrire dans des mémoires familiales, des instants de bonheur et de joies ordinaires. Mais aussi d'en être une trace, fragile car filmée sur des pellicules, souvent périssables. Mais qui n'en reste pas moins une forme de souvenir en mouvement, des fragments d'une histoire anonyme.(Headlines) André Bonzel, lui, n'est pas un ciné

  • “Allons Enfants” d’Alban Teurlai et Thierry Demaizières : Vous dansiez ? Eh bien, parlez maintenant.

    14/04/2022 Duração: 03min

    La parole et le geste. Il fallait une époque sociale, et politique, aussi trouble que celle d'aujourd'hui en France pour se rendre compte de leur importance. Et c’est sans doute la moindre des choses, que ce soit par l'image que cette prise de conscience se manifeste. Allons enfants, le nouveau documentaire d'Alban Teurlai et Thierry Demaizière, prend la chose à bras le corps. Littéralement. Et suit deux classes de la section « Danse urbaine » du lycée Turgot, à Paris, durant un an. Rien que cet énoncé pose bien l'importance des mots. À Turgot, on dit donc danse urbaine. Dans les coins de banlieues, d'où viennent les élèves suivis par Allons enfants, on dit «Hip Hop ». Toute la différence est déjà là, entre un milieu qui s'affirme comme élite, et celui des classes populaires. Pour autant, c'est bien une passerelle qui est soutenue dans ce documentaire. L'enjeu narratif en sera un concours de battles inter-lycées. Mais plus encore, c’est l'ébauche d'un dialogue entre ces deux mondes qui se joue ici. Elle est a

  • “Employé/Patron” de Manuel Nieto Zas, en Uruguay aussi, on s’essaie à franchir les barrières habituelles du cinéma social

    07/04/2022 Duração: 02min

    Employé/Patron s'ouvre par une berceuse chantée à un bébé. Mais avec un tel titre, il y a de quoi se douter que ce film uruguayen va sussurrer un autre type de chanson. Surtout, quand une sorte d'inquiétude s'impose dès cette séquence initiale. Il y a du drame dans l'air. Pas celui qui se profilait autour de la santé d'un enfant. Mais autour de la relation entre les familles, d'un patron et d'un employé, qui tournent vinaigre. Surtout quand le second provoque involontairement un accident mortel. Ici pas de salaud ni de victimes, mais le constat d'une étanchéité de classe toujours aussi impossible à transpercer. Même si Rodrigo, le propriétaire terrien, et Carlos, l'ouvrier agricole, ont le même âge et le même profil familial. Ils restent séparés par une hiérarchie sociale. Employé/Patron confirmant qu'en dépit des efforts d'écoute ou de rapprochement, rien n'autorise à sortir d'un lien entre dominant et dominé. Que le passage d'un monde vertical à celui horizontal ne se fera pas sans casse. Zas l'explore par

  • "Freaks Out" de Gabriele Mainetti : un film de guerre et de superhéros culbutant

    07/04/2022 Duração: 03min

    Le cinéma a toujours aimé les monstres, les phénomènes de foire. Peut-être parce qu'à son origine, c'était justement un art forain. Qu'à côté des chapiteaux où l'on exhibait les créatures les plus variées, on projetait les premiers films, avec la même idée d'exacerbation du réalisme. D'ailleurs, si la littérature et la peinture ont longtemps été fascinées par les monstres, le cinéma reste malgré tout l'art qui les a mieux observés.  En allant régulièrement chercher chez eux une part d'humanité. Voire inverser la donne en rappelant que c'est chez les gens normaux d'apparence que peuvent se dissimuler les plus bas instincts. De Tod Browning et son bien nommé Freaks à Tim Burton et Edward aux mains d'argent et tant d'autres, beaucoup de cinéastes l'ont martelé. L'italien Gabriele Mainetti se rajoute à la liste avec Freaks out. Une variation sur ce genre qui fait la passerelle avec les films de superhéros en plongeant un quatuor de marginaux dotés de superpouvoirs dans la folie du programme hitlérien. Des Übermen

  • “Le Grand Mouvement” de Kiro Russo : Quand les secousses du capitalisme déclenchent un film tellurique.

    31/03/2022 Duração: 07min

    “Le Grand Mouvement” porte incroyablement bien son titre. D'abord dans son récit, celui d'un mineur bolivien débarqué à la Paz, pour retrouver son emploi, mais qui se retrouve atteint d'une mystérieuse maladie qu'il va aller soigner dans la jungle avec un chamane. Ensuite dans sa forme, le film de Kiro Russo, qui alterne sans cesse regard sur l'intime d'un homme et celui sur le grondement collectif d'une métropole, pour une sorte de dantesque symphonie urbaine où la capitale bolivienne prendrait vie comme un personnage à part entière. Le grand mouvement ne se dispersant pas pour autant dans un cinéma expérimental quand il ne perd jamais de vue son idée, limpide, du capitalisme comme virus et maladie gagnant aujourd'hui jusqu'aux corps. Il y propose comme remède une fièvre de l'imaginaire, des spasmes de cinéma dingo en guise d'acte de résistance politique et culturelle : décloisonnant le documentaire et la fiction, voici une impressionnante rêverie chamanique pour espérer sortir du cauchemar social.

  • “Retour à Reims” de Jean-Gabriel Périot : de l’individuel au collectif

    30/03/2022 Duração: 10min

    Un essai aussi autobiographique quand il revient sur son parcours de transfuge de classe que collectif quand il explorait aussi la trajectoire du monde ouvrier à travers les générations. Treize ans plus tard, Jean-Gabriel Périot adapte ce livre au cinéma avec Retour à Reims (Fragments). Ou plutôt le complète, prolonge sa lecture sociopolitique pour un état des lieux actualisé mais reposant sur un fantastique montage d'images d'archives, transformant le récit à la première personne d'Eribon en album photo d'une lutte des classes, allant jusqu'au mouvement des Gilets Jaunes. De quoi explorer une autre histoire de France, tout en boucle temporelle, quand ce Retour-là prend la direction d'aujourd'hui.

  • “Plumes” d’Omar El Zohairy

    24/03/2022 Duração: 07min

    “Plumes” part d'un postulat inattendu : après un tour de magie foireux, un ouvrier en usine se retrouve transformé en poulet, mais personne n'arrive à le ramener à une forme humaine. Mais le premier long métrage d'Omar El Zohairy refuse de mettre ses œufs dans un même panier en explorant cette histoire loufoque du point de vue d'une épouse qui se retrouve dépourvue, plongée dans les turpitudes kafkaïennes des labyrinthes administratifs quand elle veut faire reconnaître sa singulière situation.  “Plumes” s'en amuse mais en serrant les dents dans cette comédie aussi absurde qu'amère. Ce jusque dans une surprenante identité de cinéma qui tend les bras à l'humanisme contrarié d'un Kaurismaki ou d'un Dino Risi. Un cinéma intemporel quand rien ne dit où il se situe ni à quelle époque, le seul repère étant qu'on y parle arabe et que le réalisateur est égyptien. Plumes tient donc de la fable et de ses principes de récit universel. Mais alors comment réagit Omar El Zohairy quand, comme lors de sa présentation au festi

  • “Medusa” d’Anita Rocha Silvera

    18/03/2022 Duração: 10min

    On a souvent oublié que dans la mythologie grecque, si la Méduse s'est transformée en créature hideuse pouvant pétrifier du regard quiconque, c'est parce que les dieux avaient décidé de supprimer sa beauté pour avoir succombé à la tentation charnelle.  Anita Rocha Da Silvera y a vu l'expression d'une colère féminine contre les embrigadements de toute sorte pour la jeune génération de femmes actuelles. Dans le Brésil actuel, même avant l'arrivée au pouvoir de Bolsonaro, cela passe par un retour au conservatisme religieux, virant au fanatisme. Et ce jusqu'au point de transformer des adeptes d'une église évangélique en gang de filles tabassant celles qui ne répondent pas à leur code de bonne moralité. Medusa y répond en osant le sacrilège, d'embardées visuelles invoquant le cinéma fantastique transgressif des années 70 (Argento, Carpenter...) à un mélange des genres, de préférences ceux se foutent des bonnes mœurs. Le tout au nom d'une croisade pour la reconquête de la liberté, celle de penser comme celle d'aime

  • “Ma Nuit” d’Antoinette Boulat : une immersion dans l’atmosphère de la jeunesse actuelle.

    10/03/2022 Duração: 09min

    Ma nuit donne jour à une réalisatrice inattendue. Avant de passer derrière la caméra, Antoinette Boulat à accompagné, en tant que directrice de casting, un certain jeune cinéma français. Des débuts ou presque d'Albert Dupontel à François Ozon en passant par Cédric Kahn, pour ne citer qu'eux. Il était donc logique que pour son premier film, elle s'intéresse à une jeunesse. Celle d'aujourd'hui, qui fait ce qu'elle peut pour traverser une période entre Covid, attentats et réchauffement climatique.  À travers la déambulation de Marion, jeune femme en gestation mais déjà en deuil, Ma nuit poursuit une forme de compagnonnage, cette fois-ci au chevet d'un âge et de ses inquiétudes.  Mais surtout pour tenter autant que possible de l'en libérer, d'apprendre à défaut de pouvoir s'en soulager, vivre avec. En retour d'un splendide film qui tient de l'expérience sensorielle, il était naturel de partager celle d'un travail singulier avec son auteur, pour éclairer sa remarquable Nuit. En salles le 9 mars

  • “Ali & Ava” de Banar : à la croisée de la comédie romantique et du cinéma social

    02/03/2022 Duração: 05min

    Il faudra bien un jour percer le mystère du cinéma social britannique. De Ken Loach à Andrea Arnold de The full monty ou Billy Elliott et bien d'autres. Il y a un savoir-faire inexplicable pour partir de la réalité des classes ouvrières pour les transcender en récits admirables ; pour malaxer un contexte et toujours en extraire une fibre humaniste. Une alchimie qui n'appartient qu'à ce cinéma-là jusqu'à en être devenue son adn. “Ali & Ava”, le nouveau film de Clio Barnard, connecte à la fois comédie romantique et racines shakespeariennes autour de la rencontre improbable entre une assistante sociale, irlandaise jusque dans les recoins de son accent, et un chauffeur de taxi d'origine pakistanaise.Il y aurait du Roméo et Juliette contemporain dans Ali & Ava ?Il y a de ça dans cette confrontation des cultures, une romance qui tiendrait encore aujourd'hui du sacrilège. Pour autant Ali & Ava se détache du destin funeste des Capulet et Montaigu. Que cela soit par une volonté claire de ne pas aller jusqu

  • “Sous le ciel” de Koutaïssi

    23/02/2022 Duração: 03min

    Saga fantasque d’une romance contrariée par le destin. Un film étonnant venu d’Europe de l’Est, qui dérègle les boussoles pour ne pas perdre le nord.

  • Kinuyo Tanaka : une rétrospective autour d’une pionnière du cinéma japonais

    16/02/2022 Duração: 04min

    Ce qu'il y a de bien avec le cinéma, c'est qu'on en a jamais fini de découvrir des films ou des cinéastes. Et nombreux sont ceux qui sont passés sous les radars, et surtout pas passés par les écrans français en ce qui concerne les cinématographies étrangères. Notamment celle japonaise, où des pans entiers restent à exhumer de ce côté de l'océan Pacifique. Par exemple, la carrière de Kinuyo Tanaka. Ici, on ne connaissait que son compagnonnage avec Mizoguchi pour qui cette actrice a tourné quinze films. Ce qui reste peu sur une filmographie qui en aura compté près de 250 et où s'alignent les plus grandes signatures, Mizoguchi donc, mais aussi Ozu ou Naruse. Tanaka aura été comme un fil rouge dans l'histoire de la production japonaise. D'une forte présence dans son cinéma muet à sa participation au premier film parlant, mais aussi en étant une de ses stars féminines pendant l'âge d'or des années 50. Tanaka aura suivi les fluctuations de cette industrie, jusque dans sa prestation pendant la seconde guerre mondial

  • Douglas Trumbull : disparition d'un génie de l'ombre

    09/02/2022 Duração: 04min

    Même si la semaine cinéma est particulièrement dense cette semaine (il y en a pour tout le monde, de ceux qui veulent s'intéresser à l'éthique journalistique ou politique avec Enquête sur un scandale d'état aux détracteurs de Marguerite Duras qui se réjouiront de voire déboulonner sa figure de monstre sacré pour devenir une créature toxique dans Vous ne désirez que moi. Mêmes les amateurs de film catastrophe aussi neuneu que rigolo ou de bonne comédie française ne seront pas volés avec Moonfall et Les vedettes), cette chronique va cependant baisser le rideau sur l'actualité salle pour raison de deuil, car Douglas Trumbull est mort.Douglas qui ?Bonne question. Elle est légitime et normale quand Trumbull fait partie de ces génies de l'ombre, des piliers invisibles qui ont contribué à faire devenir des films légendaires. Sans Douglas Trumbull, des classiques comme 2001, odyssée de l'espace, Blade Runner ou Rencontres du 3e type ne seraient jamais devenus les immortels classiques qu'ils sont. Trumbull y a révolut

  • La nouvelle chronologie des médias

    27/01/2022 Duração: 04min

    La chronologie des médias, c’est la règle qui définit l’ordre de diffusion des films : d’abord en salle, puis en VOD, puis sur C+, puis les plateformes, puis les chaînes gratuites. Les discussions se sont prolongées jusqu’à tard dans la nuit de dimanche à lundi. Alex Masson, le spécialiste cinéma de Nova, vous explique ça.

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