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L'actualité mondiale de l'ONU
Episódios
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19/08/2025 Duração: 18min
A l’occasion de la Journée des travailleurs humanitaires, ce 19 août, nous mettons à l’honneur Etiennette Mukwanga.Psychologue clinicienne congolaise, spécialiste des questions de protection et de violences basées sur le genre, elle s’est forgé une expérience solide à Kinshasa, aussi bien auprès des enfants des rues que comme maître de stage au Centre neuropsychiatrique de l’Université de Kinshasa.Recrutée ensuite par l'agence des Nations Unies pour la santé sexuelle et reproductive (UNFPA), elle a été envoyée à Goma — où elle se trouvait en début d’année lorsque cette ville de l'est de la République démocratique du Congo a été prise par un groupe armé.Dans cet entretien accordé à ONU Info, Etiennette Mukwanga raconte pourquoi elle a choisi de se vouer à l’appui psychologique dans un cadre humanitaire et revient sur l’expérience qu’elle a vécu en début d’année.(Interview : Etiennette Mukwanga, Spécialiste en Santé mentale et Soutien Psychosocial à l’UNFPA Goma; propos recueillis par Cris
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18/08/2025 Duração: 05min
Au menu de l’actualité A Gaza, le cauchemar sans fin des personnes handicapées La violence des gangs armés en Haïti a un impact catastrophique sur la populationEn République centrafricaine, la lutte contre le choléra est une priorité des autorités Présentation : Jérôme Bernard
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14/08/2025 Duração: 22min
« C’est vraiment une catastrophe pour Haïti d’avoir une jeunesse très violente, et des filles qui subissent des attaques à 15 ou 16 ans… Toute leur vie est marquée », déplore William O’Neill, expert de l'ONU sur la situation des droits humains en Haïti, dans un entretien accordé à ONU Info, à l'occasion de la publication d'un récent rapport.Dans cet entretien, il note que la violence extrême concerne aussi les personnes âgées, citant l'exemple de ces 15 personnes soupçonnées d’avoir donné des informations à la police nationale et récemment tuées violemment, leurs cadavres laissés dans les rues.Ce sont pour lui deux exemples de la violence extrême qui sévit dans ce pays des Caraïbes.Le défenseur des droits humains revient sur les efforts qui sont menés - tant sur place en Haïti, qu'à New York, à Genève et ailleurs - pour tenter de mettre fin à la situation intenable pour les Haïtiens.Selon William O'Neill, les gangs n’ont pas d’idéologie politique mais sont obsédés par « l'argent, la violence, les femmes
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