Fin De Séance

Fidèle au rendez-vous malgré des températures de plus en plus basses, la « A » Team Fin de Séance répond toujours présent pour réchauffer vos petits cœurs de cinéphiles.Après le combat de coqs Creed II / Bienvenue à Marwen, nos quatre chevaliers du zodiaque vont s’affronter autour d’un nouveau film et pas des moindres puisqu’il s’agit du très attendu Glass.Deux ans après le surprenant Split, M.Night Shyamalan conclut avec Glass sa trilogie super héroïque initiée avec Incassable en 2000. On y retrouve David Dunn (Bruce Willis) en « Homme de Fer » confronté à Kevin (James McAvoy) et ses 23 personnalités. Enfermé dans un asile après un affrontement homérique, notre héros va retrouver une vieille connaissance en la personne d’Elijah Price (Samuel L.Jackson). Le combat de titans peut commencer !Un épisode 27 qui s’annonce mythique puisqu’entièrement (enfin presque) consacré au dernier film de M.Night Shyamalan, lequel ne manquera pas de diviser comme le démontrent VOS réactions glanées en fin de séance. Autour de

Après avoir dit bonjour au Père Noel et au revoir à 2018, la team Fin de Séance revient pour une nouvelle année qu’on espère riche en émotions cinématographiques et en pintes ambrées !À cette occasion, le podcast se fend d’un nouveau logo tout nouveau tout beau qui fleure bon la classe et le muscle saillant. Et si l’identité visuelle change, le concept reste le même : le debrief de deux films qui font l’actualité agrémenté de VOS réactions en sortie de salle. Comme dirait un certain Snake : « Plus les choses changent, plus elles restent les mêmes ». Et quelle meilleure façon de démarrer 2019 que par un combat entre les deux premiers challengers de l’année, à savoir Creed 2 et Bienvenue à Marwen ? Trois ans après Creed, l’héritier de Rocky Balboa aura fort à faire face à Viktor Drago, aka le fils d’Ivan Drago, le monstre russe qui a tué Apollo Creed il y a plus de trente ans. De son côté, Steve Carell lui préfère jouer à la poupée mais c’est pour la bonne cause : le nouveau film de Robert Zemeckis, le papa de

HO-HO-HO ! Les fêtes approchent, Noël est à nos portes et Fin de Séance vous invite à découvrir son Calendrier de l'Avent, non pas riche en chocolats mais en films de fin d'année chargés d'effets spéciaux !Ainsi, pour cet épisode #25 - chiffre symbolique - l'équipe se paye un véritable festin cinématographique à dominante Hollywoodienne, assaisonné d'une pointe d'épices Néo-Zélandais et de tradition française. Dans votre assiette, on entame les festivités avec le très attendu SPIDER-MAN : NEW GENERATION, film d'animation de Sony Pictures, renouveau énergique et ingénieux de la franchise signé Bob Persichetti, Peter Ramsey et Rodney Rothman. Puis vient la nouvelle production de Peter Jackson, MORTAL ENGINES, aventure fantasy / post-apocalyptique / steampunk pour adolescent(e)s réalisée par Christian Rivers, un terrible échec au box-office qui affiche néanmoins de belles qualités. L'EMPEREUR DE PARIS de Jean-François Richet quant à lui, malgré une promesse alléchante, manque cruellement de saveur... dommage, on

Face aux terribles légions romaines et aux vilains tigres mangeurs d'homme, une seule solution, l'overdose de pop-corn !En effet, pour cet épisode #24, l'équipe de Fin de Séance file au cinéma et fait chauffer son abonnement Netflix ! Au menu, deux longs-métrages donnant le coup d'envoi des films de Noel : ASTERIX - LE SECRET DE LA POTION MAGIQUE, nouvelle aventure originale en animation 3D de nos gaulois préférés, quatre ans après l'adaptation Le Domaine des Dieux et toujours sous la direction d'Alexandre Astier et Louis Clichy.Puis MOWGLI, nouvelle itération live action (et en performance capture) des écrits de Rudyard Kipling signée Andy Serkis (King Kong, Caesar dans La Planète Des Singes) après le désengagement Alejandro G. Iñárritu (The Revenant). Un projet qui revient de très loin et que nous attendions énormément pour son approche sombre, viscérale et sa performance technique. Bref, après plusieurs dates de sortie envisagées, la Warner l'a finalement refilé Netflix... Le film est désormais visible sur

Noir, blanc, rouge - la triste gamme chromatique de cette émission spéciale carnage et cruauté sur notre bon vieux continent. Au programme de ce podcast #23 : OVERLORD, un film de Julius Avery produit par J.J. Abrams, une petite série B mêlant débarquement allié en Juin 44 et "nazispoltation" zombiesque. Puis, MILLENIUM - ce qui ne me tue pas, nouvelle adaptation made-in-Hollywood de la célèbre franchise de polars scandinaves, mais cette fois, sans David Fincher. Place donc à Fede Alvarez, jeune réalisateur uruguayen à surveiller de près. Et comme à chaque fois, vos réactions en sortie de salle sont la base de notre discussion ! Alors, si vous êtes prêts, rejoignez-vous pour un verre en compagnie des soldats Ilan Ferry et Julien Munoz de Cinevibe.fr. Animé par Thomas Camacho ( FanFootage.fr) et co-animé par Pierre Delort ( FanFootage.fr).Crédits : Fin de Séance est un podcast de Séance radio, proposé par Goom (Go on media), animé par Thomas Camacho (FanFootage.fr) et co-animé par Pierre Delort (FanFootage.fr)

Hasard du calendrier ou signe des astres, deux films majeurs sur le monde des sorcières et de la magie noire sortent la même semaine ! Ainsi, pour cet épisode #22, la bande s'attaque aux ANIMAUX FANTASTIQUES 2 : Les Crimes de Grindelwald et à SUSPIRIA, remake version 2018 du classique de Dario Argento. Deux films de sorcellerie, certes, mais deux ambiances que tout oppose - le premier, blockbuster de studio adapté de l'empire financier Harry Potter, l'autre, interprétation moderne et auteurisante d'un classique italien basé sur le mystère et la danse. Et comme toujours, ce sont vos réactions en sortie de salle qui lancent la discussion ! Alors, si ça vous branche, rejoignez-nous pour une pinte en compagnie des amis Ilan Ferry et Julien Munoz de Cinevibe.fr, ainsi que de Mathieu Poudret, pour sa première émission. Crédits :Fin de Séance est un podcast de Séance radio, proposé par Goom (Go on media), animé par Thomas Camacho (FanFootage.fr) et co-animé par Pierre Delort (FanFootage.fr). Enregistré au Hurling pu

Cette semaine nous revenons sur deux grosses sorties ciné ! L'une en salles avec Hôtel El Royale et Outlaw King sur Netflix !Quel lien entre les deux, nous direz-vous ? Outre leur titre respectif s'inscrivant dans le champs lexical de la royauté... rien. Un peu tiré par les cheveux ?Bref, pour ce podcast N°21, l’équipe se penche sur le nouveau film du Drew Goddard qui, six ans après La Cabane dans les bois, revient avec un thriller jouant à nouveau sur le récit déstructuré, les faux-semblants, les différentes tonalités et le voyeurisme du spectateur. L'auteur de Cloverfield ou Seul sur Mars nous propose là un métrage original mettant en scène sept inconnus renfermant un secret dans un hôtel mystérieux lors d'une nuit pluvieuse... Un film qui dépasse son concept grâce une intrigue captivante et une mise en scène multipliant habilement les points de vue. Une très bonne surprise qui a le soucis de l'écriture, ce qui fait donc plaisir à voir entre deux consommables Hollywoodiens. La preuve avec les réactions des

Pour les 40 ans du film culte de John Carpenter, le studio Universal propose à Michael Myers d'achever son oeuvre ! Cette fois, il s'échappe de l'hôpital psychiatrique où il était interné pour retrouver Laurie Strode (Jamie Lee Curtis) en mode survivaliste, elle qui était pourtant tuée par ce dernier dans l'infâme Halloween : Resurrection (2001)Vous avez bien lu ! Ce HALLOWEEN 2018 s'inscrit comme un retour aux sources, mieux, comme étant la suite directe du film original, balayant ainsi la dizaine de métrages qui s'en sont suivis. Couillu, non ?Pour ce podcast N°20, l'équipe se penche donc sur le cas de cette nouvelle itération signée David Gordon Green / Danny McBride (Votre Majesté, Délire Express, Kenny Powers) et avec le "consentement" de John Carpenter qui signe également la musique.Coincé entre la révérence au film matriciel et la toute petite volonté de proposer quelques mises à mort graphiques, HALLOWEEN ne peut finalement se reposer que sur la composition de Carpenter qui vient de temps en temps ico

Imaginez - En 1959, Neil Armstrong débarque sur la lune et se retrouve nez à nez avec un vilain Predator assoiffé de sang ! Ça vous branche ? Non… ? Bon. Pour ce podcast #19, l’équipe se retrouve une fois de plus autour d’un verre pour aborder deux films événement de ce radieux mois d’Octobre, deux épopées spatiales radicalement opposées : FIRST MAN de Damien Chazelle et THE PREDATOR de Shane Black - le premier narrant l’exceptionnelle odyssée d’un homme à travers les étoiles, et le second celui d’une ribambelle de vannes potaches sur l’arrivée d’un alien sanguinaire au coeur de l’Amérique rurale - un alien avec des gros pieds. Et comme toujours, vos réactions en sortie de salle nous permettent de construire notre discussion ! Ça vous branche ? Alors, rejoignez-nous pour une pinte en compagnie des amis Ilan Ferry et Julien Munoz de Cinevibe.fr. Animé par Thomas Camacho ( FanFootage.fr) et co-animé par Pierre Delort ( FanFootage.fr)."Fin de Séance" est un podcast Séance Radio. Enregistré au Hurling pub (8 Rue

Après une grosse décennie à l'attendre, VENOM, l'un des plus grands super-vilains de l'univers Spider-Man, a enfin droit à son propre film ! Aperçu dans Spider-Man 3 sous les traits de Topher Grace, c'est désormais Tom Hardy qui incarne le journaliste grande gueule (et looser) Eddie Brock qui sera ensuite possédé par le symbiote extra-terrestre. Alors que nous redoutions le pire suite aux récentes déclarations de l'acteur à propos du montage final du film, le résultat est sans appel : VENOM est malheureusement bien la catastrophe annoncée. Un avis qui n'engage que nous, évidemment, puisque certains des spectateurs que l'on a interrogé en sortie de salle y ont pris du plaisir. L'occasion donc de nous appuyer sur vos réactions afin de construire notre discussion. Ça vous branche ? Alors, rejoignez-nous pour une pinte en compagnie des amis Ilan Ferry et Julien Munoz de Cinevibe.fr. Animé par Thomas Camacho ( FanFootage.fr) et co-animé par Pierre Delort ( FanFootage.fr)."Fin de Séance" est un podcast Séance Radio

L’automne approche, le soleil décline, les feuilles tombent et Halloween est à nos portes ! Et quoi de mieux qu’une émission spéciale « citrouilles et sorcellerie » pour célébrer l’occasion ? C’est ainsi que nos fiers chroniqueurs, parés de leurs plus belles écharpes, se sont retrouvés une fois encore autour d’un verre pour débattre des deux nouvelles sorties de la semaine : LA PROPHETIE DE L’HORLOGE de Eli Roth et HARRY POTTER à l’École des Sorciers de Chris Colombus, ressorti sur nos écrans pour son (presque) 20e anniversaire. Deux films, deux adaptations de romans jeunesse et deux récits mêlant mystère, magie noire et découvertes fabuleuses !Ça vous branche ? Alors, rejoignez-nous pour une pinte de « bièraubeurre » en compagnie des apprentis sorciers Ilan Ferry et Julien Munoz de Cinevibe.fr. Animé par Thomas Camacho ( FanFootage.fr) et co-animé par Pierre Delort ( FanFootage.fr)."Fin de Séance" est un podcast Séance Radio. Enregistré au Hurling pub (8 Rue Descartes, 75005 Paris), le samedi 29 Septembre 20

Pour ce (glorieux) premier épisode de la saison 2 des podcasts de FIN DE SÉANCE, l’équipe reprend ses quartiers au Hurling pour célébrer le cinéma made-in-France : CLIMAX l’expérience cauchemardesque et hallucinée de Gaspard Noé et LES FRÈRES SISTERS, premier western dans la langue de Shakespeare de Jacques Audiard. Deux films, deux sorties capitales pour la production hexagonale ! De plus, pour la première fois à l’antenne, Fin de Séance donne la parole au public en lançant une section micro-trottoir ! Votre avis nous intéresse et nous inspire, et toute l’équipe espère sincèrement que cette nouvelle section vous plaira… et lancera le podcast sur le chemin de la domination mondiale. Mouahahaha. Prêts ? Alors, rejoignez-nous pour une pinte en compagnie des copains Ilan Ferry et Julien Munoz de Cinevibe.fr. Animé par Thomas Camacho ( FanFootage.fr) et co-animé par Pierre Delort ( FanFootage.fr) "Fin de Séance" est un podcast Séance Radio. Enregistré au Hurling pub (8 Rue Descartes, 75005 Paris), le vendredi 21

Non, le cinéma n'est pas mort !Dernière émission de la saison oblige, il fallait bien que l'on clame haut et fort tout notre amour pour quelques films sortis cette année et pour lesquels nous n'avions pas eu l'occasion d'en parler au micro. Au menu : BATTLESHIP ISLAND, 3 BILLBOARDS et PENTAGON PAPERS. Trois formidables métrages déjà disponibles en vidéo ET, ô surprise, un à venir prochainement dans vos multiplexes : LES INDESTRUCTIBLES 2 ! On est comme ça, c'est cadeau.Si tout a été plus moins dit sur les trois premiers films, on vous invite tout de même à partager notre enthousiasme pour deux d'entre eux quelque peu snobés par une partie du public (Pentagon Papers) et / ou très mal distribués en salles (Battleship Island). Et après cette page, on revient à l'actualité avec nos attentes concernant les sorties de cet été dont une particulièrement très attendue, en l’occurrence Les Indestructibles 2 que vos serviteurs ont eu la chance de voir. Mieux encore, nous avons rencontré Brad Bird (Le Géant de Fer, Missi

Spéciale "horreur, malheur" !Sans un bruitImmense buzz critique. Succès colossal au box-office mondial, "Sans un bruit" est le second film mis en scène par l’acteur-réalisateur John Krasinski (The Office) qui s’essaye désormais au thriller horrifique post-apocalyptique produit par Michael Bay ! L'histoire d'une famille qui tente de survivre sous la menace de terribles créatures qui attaquent au moindre bruit. S’ils vous entendent, il est déjà trop tard...Après une entrée en matière assez saisissante, la promesse de ce survival se sitiuant au milieu des champs de maïs est malheureusement vite rompue par une écriture stupide multipliant les incohérences grossières. Si le film offre tout de même quelques rares bons moments dans son concept, il n'en reste qu'une mauvaise rencontre entre "Signes" de M. Night Shyamalan et "10 Cloverfield Lane". Dommage...Au cinéma le 20 juin HéréditéSensation au dernier Festival de Sundance, le premier long-métrage signé Ari Aster, 31 ans, risque lui de diviser nettement plus. Fil

Abandonnés sur Isla Nublar depuis la fermeture du parc, menacés par une éruption volcanique imminente, les dinosaures sont désormais source de conflit politique : faut-il sauver une espèce artificiellement ramenée à la vie ?Voici le point de départ de FALLEN KINGDOM, suite très attendue du premier Jurassic World : un dilemme éthique et sociétal qui pousse nos héros d’autrefois, incarnés par Chris Pratt et Bryce Dallas Howard, à reprendre du service et se confronter une fois de plus aux vilaines créatures infestant les jungles de l’île maudite. Toujours (et malheureusement) scénarisé par le duo Derek Connolly / Colin Trevorrow, réalisateur du premier, le film pourrait aisément sombrer dans les mêmes aberrations narratives que son prédécesseur… seulement, pour contrebalancer la bêtise d’un script à la cervelle de gallimimus, Universal Pictures et Amblin eurent l’intelligence de faire appel à l’un des cinéastes les plus talentueux de sa génération : Juan Antonio Bayona, prodige espagnol et digne héritier du gran

5 mois seulement après Les derniers Jedi, Disney envoie Solo sur les écrans des multiplexes après une production chaotique qui a vu l’éviction en cours de tournage des deux réalisateurs Phil Lord et Chris Miller pour « différences créatives »Confié vétéran Ron Howard (Apollo 13, Willow) - proche de la famille Kathleen Kennedy & George Lucas – qui a pris le relais pour mettre en boîte l’origine story de Han Solo, le métrage se situe comme Rogue One entre La Revanche des Sith et Un nouvel espoir… Nous suivons donc la première aventure du personnage incarné par Alden Ehrenreich, depuis la planète Corellia où l’on y découvre son patronyme, sa love story avec Qi’ra (Emilia Clarke), son engagement dans l’Empire jusqu'à sa rencontre avec Lando (Donald Glover), le Faucon Millienium, etc…Quant à l’histoire…Parce qu'il y a une histoire ! Elle se résume à une trame narrative assez simple et claire puisqu’il est question de récupérer un hydrocarbure en compagnie de Tobias Beckett (Woody Harrelson) pour le compte du h

Deux ans après un premier film qui bousculait l'univers aseptisé des Avengers, la grande gueule DEADPOOL est de retour pour une nouvelle aventure...ratée. Wade Wilson (Ryan Reynolds) va mal. Très mal. Aussi bien dans sa vie personnelle que dans sa mission de héros. En pleine déprime, il va reprendre du poil de la bête lorsque Cable (Josh Brolin) arrive du futur pour exterminer un jeune mutant qu'il va devoir protéger.Avec un pitch aussi prometteur, on imagine très bien la franchise prendre une autre dimension et/ou donnant de l'épaisseur au personnage, sauf que non. Cette suite ne fait que matraquer sa formule de base, à savoir balancer à la gueule des fanboys des blagues méta au kilo, confortant leur position de trolls sur les forums / réseaux sociaux. Ils seront ravis.Si le film contient tout de même quelques gags en-dessous de la ceinture réussis, DEADPOOL 2 ne propose rien de neuf à côté de ça. Entre le traitement raté de Cable ou les personnages additionnels inexistants...on voit clairement les limites d

Il est de retour et d'après certains confrères journalistes : "il ne fallait pas l'énerver !" Euuuhh...Entre deux DTV avec 50 Cent, Bruce Willis semble donc toujours avoir la confiance des studios puisque nous le retrouvons à l'affiche de DEATH WISH, nouveau long-métrage signé Eli Roth (Hostel). Le réalisateur remake Un Justicier dans la ville 1, film culte et polémique d'une saga initiée en 1974 avec Charles Bronson et mis en scène par Michael Winner. On y suit Paul Kersey (Bruce Willis), désormais chirurgien urgentiste, dont la vie bascule après que sa femme soit tuée et que sa fille tombe dans le coma suite à un cambriolage qui tourne mal. Face à une enquête qui piétine dans un Chicago où le taux de criminalité est au plus haut, Kersey va alors prendre les armes...Ne semblant pas assumer jusqu'au bout son caractère de revenge / vigilante movie, et c'est d'autant plus frustrant lorsqu'on sait que le scénario est signé Joe Carnahan (Le territoire des loups) qui s'en est désolidarisé. DEATH WISH n'est au fina

Allez...on y est... Six ans après sa première apparition dans une scène post-générique, l'oublié Thanos passe enfin à l'action. Pas trop tôt...Il aura donc fallu attendre le 19ème produit MARVEL pour que la firme nous livre LA réunion somme mettant en scène la première partie de l'affrontement ultime entre les Avengers et le despote. Alors que le rendez-vous aurait dû être solennel et engageant au regard des enjeux, c'est finalement un long et gros pétard mouillé que les frères Russo nous présentent sur grand écran. Et même si l'entreprise de réunion devait être Colossale à gérer pour imbriquer l'ensemble, les réalisateurs ne savent toujours pas exécuter la base de ce type de film : une scène d'action ayant juste un peu d'allure. Surtout, le métrage manque cruellement d'un souffle épique ! Reste Thanos, techniquement impeccable, mais dont la menace qu'il est censé incarner tombe un peu à plat. Il faut dire que son spectre de tyran n'a jamais réellement infusé tout au long des précédents films du MCU... Bref,

"Hilarant", "La comédie de l'année", nous indique l'affiche française de Game Night, la nouvelle comédie "adulte et trashouille" signée Warner. Mais mérite-t-elle vraiment tous ces superlatifs ?Comme nous, Max, Annie et leurs amis sont adeptes des jeux d'apéro. Alors qu'il participent à une surprenante 'murder party' organisée par Max (Kyle Chandler), ce dernier se fait enlever sous le regard amusé de tous ! Chacun se lance alors à sa recherche mais à mesure que l'enquête avance, une question va vite se poser : mise en scène ou non ? Réalisé par Jonathan Goldstein et John F. Daley (Vive les vacances et le prochain Flashpoint), le film se positionne comme le pendant comique de The Game de David Fincher dont il cite copieusement la mise en scène graphique. Comédie d'action ludique, efficace dans son concept, casting judicieux (mention spéciale à Jesse Plemons), Game Night est au final très plaisant mais pas si hilarant que ça...Avec les amis Ilan Ferry et Julien Munoz (Cinevibe), nous revenons donc sur le film